Achats sur Internet : pour économiser, naviguons cachés
En ligne, l’optimisation des prix existe … mais elle n’est pas pour vous.
L’UFC-Que Choisir a testé des réservations en ligne avec deux méthodes :
- un navigateur classique (Firefox) configuré pour accepter les cookies,
- un logiciel de navigation plus confidentiel (Tor Browser), paramétré avec les cookies interdits pour les sites tiers.
Les cookies sont des petits fichiers déposés sur votre ordinateur par les sites visités, quant aux « cookies tiers » ils proviennent de sites autres que ceux visités. Ces cookies tiers sont notamment utilisés par les annonceurs pour pister votre navigation, certains sites (ex Opodo ou Tripadvisor) allant jusqu’à bloquer une réservation si votre navigateur n’accepte pas ces cookies.
Caché et pas caché, le constat de l’UFC-Que Choisir
Pour louer en ligne une voiture, deux réservations faites sur le site d’un loueur :
- Avec Firefox et des cookies acceptés : la semaine de location pour en Fiat 500 coûtait 219 euros.
- Avec Tor, 2 minutes plus tard, cookies refusés : la note était de 128 euros, le navigateur ayant attribué une adresse de l’ordinateur à l’étranger (en Allemagne).
Même constat d’écart de prix pour des réservations d’hôtels.
L’UFC-Que Choisir avait déjà montré de tels écarts de prix en ligne, des « optimisations », avec l’utilisation de la géolocalisation lorsque l’acheteur potentiel n’avait pas de magasin concurrent dans son entourage !
Ces « distorsions de concurrence posent problème » au Commissaire européen à la concurrence et sont « suivies de près ».
Dans l’attente de nouvelles mesures contre ces distorsions, refusez les cookies tiers dans votre navigateur et refusez les demandes de géolocalisation à l’occasion d’un achat, optimisez les prix … pour vous, consommateurs.
Lire l’article de la Fédération UFC-Que Choisir : Achat en ligne : comment payer moins cher
Que Choisir 37 – Tours
Source : Fédération UFC-Que Choisir
Laits bébé contaminés Lactalis, …
… les parents ont la parole.
Dans le cadre de l’affaire Lactalis, plusieurs parents ont contacté l’UFC-Que Choisir ou ses associations locales. Afin de répondre au mieux aux différentes sollicitations sur ce dossier, la Fédération met en place un appel à témoignages. Pour répondre, cliquer ici :
Pour en savoir plus sur cette affaire et sur l’engagement de Que Choisir : Paroles de parents
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01/03/2018 : Que Choisir est associé à une procédure pénale en cours contre Lactalis. Par ailleurs, une série d’auditions devant le Sénat a d’ores et déjà a permis de révéler des pratiques inquiétantes de Lactalis.
Principales informations dévoilées lors des auditions devant les sénateurs :
- Lactalis aurait dissimulé aux services sanitaires des contrôles positifs à la salmonelle au cours de ces dix dernières années.
- Auchan et Carrefour ont remis en rayon des laits contaminés ramenés par les consommateurs.
- La Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes (DGCCRF) accuse les laboratoires en charge des autocontrôles de ne pas avoir rempli leur rôle d’alerte.
Source : Fédération UFC-Que Choisir
Véhicule d’occasion : un utile rappel à la réglementation …
… Le vendeur avait « oublié » ses obligations de livraison et de garantie.
Mylène, à Chambray, a cédé à un vendeur professionnel de véhicules d’occasion ses deux voitures contre une plus récente et plus confortable, avec 500 euros en plus.
Mylène était satisfaite de cet arrangement, bien que la nouvelle voiture lui ait été livrée avec retard au mois de septembre 2017. Mais, plus gênant, il lui a été impossible de la faire démarrer ! En panne, la voiture est donc repartie chez le vendeur sur une remorque pour être réparée, mais le temps de réparation durait …
L’attente était si longue que, à la mi-novembre, Mylène est venue nous demander conseil, le vendeur lui ayant toujours répondu que la voiture était toujours en réparation, seule justification donnée.
Mylène a alors envoyé un courrier en recommandé, il est resté sans réponse.
Que Choisir 37 a du intervenir directement auprès du vendeur dans le but de :
- rappeler ses obligations de livraison conforme et de garantie de conformité,
- demander l’annulation de la vente pour cause d’incapacité à s’acquitter de ces obligations,
- signaler que le « bon de commande » qu’il a fait signé à Mylène ne respectait pas les dispositions légales :
- aucune date de livraison n’est mentionnée,
- un délai erroné pour le droit de rétractation en cas de financement par un crédit, le délai légal est de 14 jours alors qu’il est écrit 7 jours sur le bon de commande.
Nous avons également prévenu le vendeur qu’à défaut d’annulation de la vente et de remboursement sous dix jours, nous orienterions notre adhérente vers un de nos avocats partenaires en vue d’une action judiciaire et informerions la Répression des Fraudes d’Indre-et-Loire de ses pratiques non conformes à la réglementation.
L’effet fut rapide, Mylène a bien été remboursée sous 10 jours, cette fois le délai a été respecté par le vendeur !
Afin de limiter les mauvaises surprises du marché des véhicules d’occasion, nous vous invitons à suivre les conseils de l’UFC Que Choisir : Guide d’achat d’une voiture d’occasion.
Que Choisir 37 – Tours
Source : Fédération UFC Que Choisir
Prélèvements SEPA : les alertes de Tracfin.
Le système est perméable aux risques de fraudes.
L’espace unique de paiement en euros, le SEPA (Single Euro Payments Area), a été mise en place le 1er août 2014 afin d’harmoniser et de faciliter dans l’Union européenne les paiements en euros (par cartes bancaires, virements, prélèvements).
Depuis le SEPA, il n’est plus nécessaire de donner à votre banque une autorisation pour que chacun de vos prestataires ou fournisseurs (gaz, électricité, téléphone, …) puisse émettre des prélèvements à débiter sur votre compte en paiement de factures.
En effet, depuis août 2014, il suffit de communiquer vos coordonnées bancaires au fournisseur, sous forme d’un mandat pour l’autoriser à débiter votre compte en émettant un prélèvement SEPA, également appelé SDD (SEPA Direct Debit).
A noter qu’au moment du passage au SEPA, il n’a pas été nécessaire de signer de nouveaux mandats pour les prélèvements déjà en place.
Le rapport de Tracfin
Aujourd’hui, la banque procède donc au paiement d’un prélèvement SEPA sans autre vérification que la provision du compte et l’absence d’opposition. Cette moindre sécurité ne devant pas échapper à des personnes mal intentionnées, il était prévu que les banques prennent des dispositions pour éviter les risques de fraudes.
Mais un rapport publié par Tracfin (Traitement du renseignement et action contre les circuits financiers clandestins) constate, en pages 14 à 17, que rien n’empêche un fraudeur d’ouvrir un compte, de préférence dans un pays peu regardant, pour émettre ensuite des prélèvements SEPA frauduleux vers des comptes ouverts dans la CEE, puis de virer les fonds vers des comptes tiers et disparaître dans la nature.
Les recours en cas de prélèvement frauduleux
De manière générale, si vous constatez sur votre compte un prélèvement SEPA non autorisé par un mandat donné à l’émetteur, vous disposez d’un délai maximum de 13 mois pour le contester, la banque devant re-créditer votre compte, cela sans pouvoir exiger un dépôt de plainte.
Une liste blanche pour se protéger
Un moyen efficace pour se protéger de ce genre de fraude est de communiquer à votre banque la « liste blanche » des prestataires autorisés à émettre des prélèvements SEPA sur votre compte.
C’est en quelque sorte un retour à la case départ, c’est à dire donner à nouveau à la banque une liste d’émetteurs autorisés. Les banques parlent peu de cette possibilité de listes blanches car elles doivent en assurer la gestion, la plupart des établissements facturant leur mise en place, parfois au-delà de 15 euros.
Pas de panique, mais de l’attention
À ce jour, les taux de fraudes sont trop faibles pour vous précipiter voir votre banquier et mettre en place une liste blanche d’émetteurs de prélèvements. En revanche, c’est une nouvelle occasion de rappeler la nécessité de suivre régulièrement vos comptes et pouvoir ainsi contester le plus tôt possible une opération frauduleuse.
Pour en savoir plus sur les arnaques au paiement, notamment avec l’arrivée des virements instantanés : cliquer sur Prélèvements SEPA : attention aux fraudes, sur Les bons réflexes avec les opérations SEPA et sur l’article de 60 millions : Foriou et Sfam accusés de prélèvements surprises
Que Choisir 37 – Tours
Sources : Fédération UFC Que Choisir – Tracfin – 60 millions de consommateurs
Location : droit de visite du propriétaire …
… Attention à la violation de domicile !
Lucien est propriétaire d’une petite maison qu’il a mise en location mais il n’est pas en très bons termes avec ses locataires qui, selon lui, reçoivent beaucoup de monde, font des fêtes, etc.
Lucien craint que son logement subisse des dégâts, il reste méfiant et a gardé un jeu de clefs, car il souhaiterait faire une petite visite lorsque les locataires seront au travail.
Prudent et respectueux des lois, il veut s’assurer qu’il est bien dans son droit.
La loi accorde-t-elle au propriétaire un droit de visite d’office ?
Non, absolument pas, si la loi est muette sur le droit ou non du propriétaire à garder un jeu de clefs, donc l’autorise implicitement, elle ne donne nullement l’autorisation de pénétrer dans le logement loué sans autorisation du locataire !
Le propriétaire n’a pas de droit de visite d’office. En revanche, la loi prévoit que le bailleur puisse accéder au logement pour une visite de vente, pour une nouvelle location, en cas de travaux urgents ou de rénovation etc, mais toujours avec l’accord du locataire.
Les conditions sont strictes, le propriétaire ne peut exiger que ses visites aient lieu :
- un jour férié,
- pendant plus de 2 heures les jours ouvrables,
- sans l’accord du locataire pour les visites dans ces cas prévus par la loi, sauf décision de justice lui donnant un droit d’accès.
Notre conseiller a mis Lucien en garde sur les conséquences d’une visite du logement loué sans l’autorisation de ses locataires. Ceux-ci pourraient porter plainte pour violation de domicile, infraction pénale punie d’un an d’emprisonnement et de 15.000 euros d’amende (article 226-4 du code pénal).
On ne fait pas toujours ce que l’on veut, la loi est là pour le rappeler.
Que Choisir 37 – Tours
Assurance emprunteur, vive la concurrence !
Le Conseil constitutionnel a validé la possibilité de résiliation annuelle d’un contrat d’assurance en garantie d’un prêt.
Le Conseil d’Etat avait été saisi par la Fédération bancaire française (FBF), mais le Conseil constitutionnel a finalement validé la réforme prévue dans la loi Sapin II de 2016. C’est donc une victoire pour les associations de consommateurs car la résiliation d’un contrat d’assurance en garantie d’un prêt n’était possible que la première année après la signature du contrat.
Ainsi, depuis le 1er janvier 2018, que ce soit pour un nouvel emprunt ou pour un emprunt en cours, tous les emprunteurs peuvent solliciter la résiliation annuelle de leur contrat d’assurance souscrit dans le cadre d’un prêt, c’est à dire qu’il est possible de changer d’assurance à chaque date anniversaire de signature du contrat, en respectant un préavis de deux mois.
Ce marché très « juteux » de l’assurance (plus de 6 milliards d’euros pour des prêts immobiliers en 2016) s’ouvre à la concurrence, générant des gains de pouvoir d’achat pour les consommateurs. En effet, la négociation d’une nouvelle assurance pour un prêt immobilier devrait permettre une économie estimée entre 500 à 700 euros par an, 8 millions d’emprunteurs étant concernés, dont les anciens malades.
Néanmoins, tous les ménages ne seront pas à pied d’égalité pour négocier une baisse des primes d’assurance, le niveau des revenus, l’âge et la santé de la personne à assurer étant pris en compte, quelque peu à contre-sens d’une mutualisation des risques.
Parmi les formalités à accomplir, l’emprunteur devra obtenir un nouveau contrat d’assurance contenant des garanties équivalentes à l’ancien contrat.
Afin de mieux comprendre la résiliation d’un contrat d’assurance emprunteur et pouvoir la mettre en oeuvre, la Fédération UFC Que Choisir vous propose une infographie et des lettres types, cliquer ici : Assurance emprunteur, résiliation annuelle.
En cas de difficulté rencontrée avec un établissement prêteur, n’hésitez pas à faire appel à nos conseillers.
Que Choisir 37 – Tours
Source : Fédération UFC Que Choisir
ENGIE n’est pas à la virgule près …
… une facture de 237 m3 au lieu de 23,7.
Pierre, de Tours, n‘en a pas cru ses yeux lorsqu’il a reçu sa facture de gaz en octobre dernier : 237 m3 relevés par ENGIE pour 6 mois de consommation alors que son usage du gaz se limite à la cuisson !
Après vérification du compteur, Pierre découvre que le technicien chargé du relevé n’a pas tenu compte de la virgule, il fallait lire 23,7 et non pas 237 ! Pierre alerte aussitôt le service client d’ENGIE qui lui assure bloquer la facture erronée et en éditer une nouvelle, rectifiée, après nouveau passage d’un technicien. L’erreur est humaine, le technicien a bien constaté que le compteur affiche 24 m3 et non pas 240.
Mais à l’arrivée de la facture rectifiée, nouvelle et mauvaise surprise, au lieu de substituer ce relevé à celui qui ne tenait pas compte des virgules, les services d’ENGIE les ont cumulés !!
Cette deuxième erreur entraîne une facture encore plus élevée que celle reçue en octobre puisque correspondant non plus à 237 m3 seulement (si on peut dire) mais à 237+24 !!
Vont alors s’ensuivre plusieurs semaines de confusion totale, ENGIE n’ayant apparemment pas procédé à un blocage de la nouvelle facture, un mois plus tard, arrivent des relances de plus en plus menaçantes pour factures impayées. De son côté, le service recouvrement d’ENGIE a prétendu n’être pas informé du blocage !
L’intervention du conseiller de Que Choisir 37 a heureusement permis d’obtenir rapidement l’édition d’une facture enfin correcte et l’octroi d’un geste commercial « royal » de 25 euros par ENGIE, somme censée compenser les frais téléphoniques et postaux de Pierre.
Une fois de plus nous constatons une absence quasi-totale de communication entre les différents services d’ENGIE (facturation/recouvrement, entre autres), absence très souvent constatée dans les dossiers que nous traitons.
Si ENGIE n’est pas capable de détecter automatiquement de telles erreurs de relevés de consommation (ici 10 fois plus), elle se doit de sensibiliser ses prestataires sur l’importance des virgules sur les cadrans de ses compteurs !
Que Choisir 37 – Tours
Micro-coupures sur micro-ordinateur, méga temps de remboursement.
Un ordinateur portable défaillant, … le vendeur aussi !
En août 2016, Claudine a acheté au magasin Carrefour des Atlantes à Tours un ordinateur portable de marque pour plus de 600 euros. Cet ordinateur a très rapidement présenté un défaut de fonctionnement puisque des micro-coupures et des anomalies répétées de fonctionnement empêchaient son utilisation normale.
Afin de remédier aux problèmes, Claudine avait envoyé plusieurs fois le micro-ordinateur au SAV de Carrefour pour être réparé et également fait appel directement au fabricant (Asus), mais sans succès, le défaut de fonctionnement restant toujours présent.
Faute de résolution des problèmes, plus d’un an après l’achat, Claudine nous a demandé d’intervenir auprès du magasin Carrefour afin d’ obtenir le remplacement de l’ordinateur défaillant.
Silence radio de la part vendeur, le magasin Carrefour, cela pendant plus d’un mois.
Pour rompre ce silence, il a fallu notre que conseiller établisse un courrier demandant le remboursement et rappelant le code de la consommation, quelque peu oublié par Carrefour : « lorsque la réparation, ou le remplacement, du bien est impossible ou n’est pas effectuée dans le délai d’un mois, l’acheteur peut rendre le bien et se faire restituer le prix ».
En réponse, Carrefour a demandé à Claudine de ramener l’ordinateur pour une nouvelle expertise en précisant que « seul le constat d’une panne avérée entraînera le remboursement de l’appareil », oubliant que cette exigence de nouvelle expertise ne respectait pas la loi !
En effet le remboursement demandé par Claudine était de droit, il devait être automatiquement accordé dès lors qu’il n’y avait eu ni réparation ni remplacement dans le délai d’un mois suivant sa demande, ni preuve contraire du défaut présumé avoir existé dès le jour de la vente. Donc, pas d’obligation donc de « constat de panne avérée ».
Suite à ce nouveau rappel à la loi, Carrefour a fini par entendre raison, trois jours avant Noël, soit 16 mois après l’achat, Claudine était invitée à rapporter son ordinateur afin que le remboursement soit effectué, enfin.
Une fois de plus, nous constatons les difficultés à obtenir le respect, par les professionnels, des garanties protectrices que la loi offre aux consommateurs. Dans une situation semblable, n’hésitez pas à pousser la porte de l’UFC Que Choisir 37 pour vous renseigner.
Que Choisir 37 – Tours
« Energie moins chère ensemble » : vous avez été plus pour payer moins.
En 2017, 11 millions d’euros de pouvoir d’achat gagnés par et pour les consommateurs.
L’UFC-Que Choisir se félicite du bilan de cette seconde opération qui intensifie la dynamique concurrentielle sur les marchés de l’énergie.
Au niveau national, sur les 220 000 inscrits, environ 85 000 ont exprimé le souhait de souscrire, représentant plus de 100 000 contrats sécurisés, purgés de toute clause abusive, soit un taux de conversion de 38 %.
Dans le détail :
- L’offre de « soutien aux petits producteurs d’énergie renouvelable » d’eKwateur a atteint le plafond des 25 000 souscripteurs,
- L’offre électricité classique d’Happ-e/Engie et gaz d’Eni, à prix fixes deux ans pour plus de prévisibilité et de sécurité tarifaire, ont respectivement retenu l’attention de 45 000 et 42 000 inscrits.
- En Indre-et-Loire, 2 767 inscriptions enregistrées suivies de 1 223 souscriptions, soit 44,2% des inscrits qui ont choisi de changer de fournisseur. 742 contrats pour une énergie et 481 pour deux énergies, avec gain moyen de 105 euros par souscripteur.
Une économie de pouvoir d’achat
Au total, au vu du profil de consommation des souscripteurs (prix fixe un an, prix fixes 2 ans), ce ne sont pas moins de 11 millions d’euros de gagnés. Si l’on additionne les différentes opérations (Gaz moins cher ensemble 1 et 2, Energie moins chère ensemble 1 et 2), c’est 50 millions de pouvoir d’achat économisés par et pour les consommateurs.
Une dynamique concurrentielle enfin enclenchée ?
L’UFC-Que Choisir ne peut également manquer de se réjouir du fait que suite au dévoilement des offres lauréates de la campagne, de nouvelles offres de marché, attractives financièrement, aient émergé par le biais de nouveaux acteurs mais également d’anciens.
L’année 2017 aura donc été celle de l’intensification de la concurrence favorable aux consommateurs sur les marchés de l’énergie, particulièrement celui de l’électricité.
Alors que les tarifs réglementés du gaz et de l’électricité, auxquels l’association reste profondément attachée comme outil de régulation et étalon de marché, ont une épée de Damoclès au-dessus de la tête, l’UFC-Que Choisir souligne qu’au-delà de la campagne « Energie moins chère ensemble », les consommateurs ont aussi intérêt à faire jouer la concurrence individuellement et rappelle qu’elle met à la disposition de tous, son comparateur indépendant des offres Energie.
Que Choisir 37 – Tours
Source : Fédération UFC-Que Choisir