UFC-Que Choisir de l'Indre et Loire

Le Troglo, premier supermarché coopératif et associatif de Tours

 

Jeudi 27 avril, le Troglo, le premier supermarché coopératif et associatif a enfin ouvert à Tours au 15 boulevard Louis XI. C’est l’association Les Amis du Troglo, née en avril 2019, qui est à l’initiative de ce projet qui se veut une alternative à la grande distribution classique.

C’est jeudi 27 avril que le Troglo, premier supermarché coopératif, associatif et participatif a ouvert ses portes. Prévue initialement le 13 avril, l’ouverture avait dû être repoussée à la suite d’un retard du raccordement au réseau électrique. Mais il en faut plus pour décourager l’équipe de coopérateurs qui a dû faire face au cours de ces années de préparation à de nombreux contretemps et relever de nombreux défis. Les 629 coopérateurs (pour l’instant)  sont les seuls propriétaires, les seuls décisionnaires et les seuls clients de ce supermarché associatif et coopératif.

Pour devenir coopérateur, c’est très simple : la souscription minimum à la coopérative est de 10 parts sociales, soit 100€. Les étudiants et les bénéficiaires des minimas sociaux peuvent souscrire pour 10€.

Chaque coopérateur prend part à la gestion du magasin et doit une participation de 3 heures consécutives toutes les 4 semaines au fonctionnement du magasin : caisse, mise en rayon, réception des livraisons, nettoyage, tâches administratives…

En participant à la tenue du magasin et en réduisant ainsi le coût de fonctionnement et les charges salariales, le magasin (à but non lucratif) peut proposer des prix plus justes pour les consommateurs mais aussi pour les producteurs, rémunérés au juste prix.

Dans une démarche écoresponsable et éthique, le magasin propose trois gammes de produits : locale, conventionnelle et bio.

Attention, l’accès au supermarché est exclusivement réservé aux coopérateurs du Troglo qui ont souscrit des parts sociales.

Le Troglo, 15, boulevard Louis XI. Ouvert de 9 h 30 à 20 h (sauf le lundi, de 14 h à 20 h et le samedi de 9 h 30 à 17 h). 

Plus de renseignements sur : le-troglo.fr

29 avril 2023

Enquête fruits et légumes circuits courts vs grandes et moyennes surfaces

 

Entre le 26 novembre et le 10 décembre 2022, l’UFC-Que Choisir a enquêté, grâce à son réseau d’enquêteurs-bénévoles, 406 magasins en circuit court répartis sur l’ensemble de la métropole.

Au total, 85 associations locales, réparties dans 63 départements, ont participé à ces visites mystères. En parallèle, l’UFC Que-Choisir a procédé à des relevés de prix en ligne, de façon automatique, via les sites drives des 7 principales enseignes de la grande distribution, à savoir Auchan, Carrefour, Casino, Cora, E. Leclerc, Intermarché et Système U. 5 257 magasins ont été enquêtés par cette méthode.  Le panier était composé de 17 fruits et légumes de saison, représentatif des dépenses mensuelles d’un foyer français : brocoli, clémentine, chou-fleur, endive, poire etc.

Circuit court ?

Un circuit court est un mode de commercialisation des produits agricoles qui s’exerce soit par la vente directe du producteur au consommateur, soit par la vente indirecte à condition qu’il n’y ait qu’un seul intermédiaire. Amap, magasins de producteurs, drives fermiers, magasins de produits locaux ou encore épiceries coopératives entrent donc dans cette définition.

Résultats nationaux

Les magasins en circuits courts disposent d’une offre concurrentielle face aux poids lourds de la grande distribution comme Auchan, Carrefour, Casino ou E.Leclerc. puisque quand vous achetez des fruits et légumes issus de l’agriculture conventionnelle, vous dépensez le même montant (38 €), que vous remplissiez votre panier chez les premiers ou les seconds. En revanche, lorsque fruits et légumes sont bios, ils s’avèrent meilleur marché en circuit court (41 € pour les magasins en circuits courts contre 47 € pour la grande distribution).

Résultats locaux

En Indre-et-Loire, dix magasins en circuits courts autour de Tours ont été visités par nos bénévoles. Quatre magasins sur dix sont notés comme chers ou très chers que ce soit sur le panier conventionnel ou sur le panier bio. A contrario, six magasins sur dix sont notés comme bon marché ou très bon marché. Trois sont même très bon marché sur le panier conventionnel ce qui est mieux que la moyenne nationale.

 

Une carte interactive

L’UFC-Que Choisir en partenariat avec l’Institut national de recherche pour l’agriculture, l’alimentation et l’environnement (Inrae), propose une carte interactive et collaborative des circuits courts en accès gratuit sur son site (Quechoisir.org/carteinteractive-circuit-court-n97688).

Vous y trouverez les informations sur les magasins proches de votre domicile : le site internet, les horaires d’ouverture ou encore les produits vendus.

 

26 avril 2023

Méfiez-vous des contrefaçons!

Dans de nombreux domaines de la consommation, la contrefaçon existe. Mais d’abord, qu’est-ce que la contrefaçon ?

La définition officielle est « la reproduction, l’imitation ou l’utilisation totale ou partielle d’un droit de propriété intellectuelle sans l’autorisation de son propriétaire » et ce n’est pas nouveau. De tout temps, on a essayé de copier les idées des autres, surtout évidemment si elles ont une valeur marchande. Mais le phénomène a pris de l’ampleur avec la mondialisation des échanges et, maintenant, avec Internet. Quand on parle de contrefaçon, on pense d’abord aux marques de luxe, avec les saisies spectaculaires des douanes, mais la contrefaçon sévit dans des domaines très divers : médicaments, produits alimentaires, jouets, logiciels…

Quels risques en cas d’achat ?

Il y a d’abord un risque légal : en détenant des objets de contrefaçon l’acheteur s’expose à la saisie des objets en question, à une amende (qui peut aller jusqu’à 300.000€) voire à une peine de prison.

Ensuite, il risque fort d’acheter un produit de mauvaise qualité car si le prix d’un produit est ridiculement faible, c’est qu’il n’a pas été fabriqué avec le soin qu’il devrait requérir, ni avec des matériaux de bonne qualité. De plus, un produit de contrefaçon ne répond pas aux normes européennes ou françaises, et il peut être tout simplement dangereux. Et pour couronner le tout, le consommateur ne bénéficie d’aucune garantie légale.

Comment repérer une contrefaçon ?

Il y a plusieurs choses auxquelles il faut faire attention :

– d’abord le lieu de vente ; s’il semble bizarre, méfiance : un sac à main de grande marque sur un étal de trottoir, il y a peu de chances que ce soit un vrai ;

– ensuite le prix ; s’il est ridiculement bas, ça doit éveiller la méfiance, les trop bonnes affaires, c’est louche ;

– la qualité ; certains défauts peuvent se voir à l’œil nu ; les étiquettes pleines de fautes ou traduites à la va-vite ; les emballages trop sommaires pour abriter un produit de qualité, autant d’indices qui doivent mettre la puce à l’oreille ;

– si on commande sur Internet, il faut vérifier que le vendeur est clairement identifié et que toutes les mentions légales sont bien présentes : la date de livraison, modalités de paiement, conditions générales de vente, droit de rétractation, garantie légale de conformité.

Une contrefaçon, que faire ?

On peut la signaler auprès de la direction départementale de la protection des populations (DDPP) ; si c’est à la suite d’un achat sur Internet, on peut la signaler sur le site internet-signalement.gouv.fr.

24 avril 2023

Petite devinette

Question : pouvez-vous dire quel est le prix des kiwis?

Indice 1 : attention, il y a un piège.

Indice 2 : la réponse se cache en tout petit en bas de la photo.

Réponse : 0,99€ pièce, et non 2,99€ le kilo comme on pourrait le croire au premier regard. En réalité, ce prix de 2,99€ au kilo s’applique à la petite barquette que l’on voit à droite de l’image, complètement décalée par rapport à l’affichette.

Comme nous le disions plus haut, il y avait un piège, et la personne censée tomber dedans, c’est évidemment le client. Pourtant, la loi stipule que « le prix peut être (…)) sur un écriteau placé à proximité directe du ou des produits de façon qu’il n’existe aucune incertitude quant à celui auquel il se rapporte ». Ce qui ne semble pas être le cas ici.

19 avril 2023

La conduite supervisée

On connaît bien le principe de la conduite accompagnée, ou anticipée, pour les apprentis conducteurs. On connait moins la conduite supervisée qui présente aussi de réels avantages.

La conduite supervisée se distingue de la conduite accompagnée (ou anticipée), même si ces deux dispositifs permettent l’un et l’autre de conduire avec un proche accompagnateur avant l’obtention du permis de conduire.

Ces deux formules présentent évidemment des avantages pédagogiques et économiques car elles permettent notamment de réduire le coût financier de l’apprentissage de la conduite automobile.

La conduite supervisée permet au candidat âgé de 18 ans au minimum, inscrit dans une école de conduite, de compléter sa formation initiale par une phase de conduite « supervisée » par un accompagnateur. L’objectif est donc de passer l’épreuve pratique dans des conditions plus sereines.

Des impératifs préalables de sécurité 

Le premier impératif concerne la validation de la formation initiale :

– avoir réussi le code de la route ;

– avoir suivi une formation pratique avec un enseignant de l’école de conduite d’au moins 20h ;

– avoir bénéficié d’une évaluation finale positive par l’enseignant et avoir obtenu l’attestation de fin de formation initiale (annexe du livret d’apprentissage).

Ce dispositif prévoit aussi un rendez-vous préalable obligatoire de deux heures entre l’apprenti automobiliste et le représentant de l’auto-école, en présence d’au moins un accompagnateur de la conduite supervisée, accompagnateur qui peut être un parent ou une tierce personne disposant du permis de conduire.

L’attestation finale positive

L’attestation de l’auto-école confirme que l’apprenti conducteur est prêt à débuter la conduite supervisée avec son accompagnateur.

Cette formule ou ce droit à la conduite supervisée permet à l’apprenti conducteur de poursuivre son apprentissage de conduite avec une tierce personne extérieure à l’auto-école, et, donc, à un coût nécessairement moindre.

 

Un dernier point majeur

Un point incontournable : le candidat doit impérativement obtenir l’autorisation de l’assureur du véhicule qu’il conduira.

17 avril 2023

« Petits délits entre amis »

 

Notre association constate régulièrement que certains consommateurs ont reçu la visite de démarcheurs de différentes entreprises de rénovation de l’habitat sur une période relativement courte. Et ces situations n’ont vraiment rien à voir avec le hasard …

Le passage répété de différents commerciaux au domicile de consommateurs, de préférence âgées, n’a rien à voir avec une étoile qui les aurait guidés vers un même point géographique.

Notre association constate que le monde est petit chez les commerciaux des entreprises de rénovation de l’habitat.

En effet, il est flagrant que des commerciaux travaillant dans différentes entreprises du secteur des travaux de rénovation (traitement hydrofuge de façade et toiture, traitement de charpente, isolation, pose de système de ventilation, etc.) se succèdent à tour de rôle au domicile de mêmes consommateurs pour leur proposer de nouveaux travaux.

Plusieurs explications possibles

Les explications possibles à ces situations ne relèvent évidemment pas du hasard.

Tout d’abord, il existe un turn-over important dans ces entreprises et il est facile pour un commercial de quitter une entreprise avec une partie du fichier clientèle.

 

D’autre part, il existe aussi une espèce de confraternité entre commerciaux qui consiste à se donner les coordonnées de consommateurs identifiés comme des proies faciles, des cibles idéales. C’est un peu la confraternité des arnaqueurs et on pourrait aussi répertorier cette pratique sous le titre « Petits délits entre amis ».

 

 

Pratique répréhensible 

Ce type de procédé repose sur une parfaite connaissance de la fragilité, de la vulnérabilité de certains consommateurs. Le commercial indélicat peut facilement enrichir son tableau de chasse en faisant signer de nouveaux bons de commande souvent aussi coûteux qu’inutiles

Cela peut déboucher sur des pratiques commerciales condamnables comme l’abus de la faiblesse de consommateurs âgés, souvent isolés, incapables de mesurer le bien-fondé de travaux et la portée des engagements qu’ils souscrivent.

 

Ce sont aussi ce qu’on appelle des pratiques commerciales agressives qui consistent à démarcher de manière répétée et insistante les consommateurs. Ces pratiques commerciales agressives peuvent s’accompagner dans certains cas d’un discours anxiogène sur l’état de leur patrimoine immobilier ce qui va nécessairement altérer ou vicier la liberté de choix du consommateur démarché.

15 avril 2023

14,59€ l’unité, soit 13,39€ l’unité ?!

Un de nos adhérents, en faisant ses courses dans une grande surface de l’agglomération tourangelle, est tombé sur cette alléchante promotion, lui vantant une bouteille de rhum à « 14,59€ l’unité, soit 13,39€ l’unité ».

Perplexe, il a sorti sa calculette, qui ne lui a été d’aucune aide ; il a aussi imaginé que dans la bouteille à 13,39€ il y avait peut-être un chouia moins de liquide, mais ça ne semble pas être le cas.

Alors, plongé dans les affres du doute, il a préféré abandonner sa quête d’explications, en se disant que les arguments publicitaires, dans la grande distribution, sont parfois bien obscurs… et le consommateur bien mal informé !

12 avril 2023

Lundi des arnaques, mardi des arnaques, mercredi des arnaques aussi…

Résumé d’une semaine ordinaire d’une internaute ordinaire : entre publicités, messages personnels et professionnels, petit florilège des arnaques quotidiennes par courriel.

Lundi des arnaques

En ouvrant ma messagerie lundi matin, j’ai la surprise de découvrir que je suis convoquée à la gendarmerie pour un supposé délit que j’aurais commis. La semaine commence bien.

Et comme si cela ne suffisait pas à mon plaisir, je reçois un mail du Crédit agricole du service conformité (sic) qui m’annonce un message avec un lien à cliquer. Problème, je ne suis pas cliente chez eux mais bon, cela aurait pu marcher !

 

Mardi des arnaques

 

Un mail m’attend pour m’annoncer qu’un colis est en attente de livraison. Je dois cliquer pour programmer la livraison et surtout m’abonner « à nos notifications pour éviter que cela se produise se reproduise ». Je sens surtout que je vais m’attirer un paquet d’ennuis si je clique !

 

 

Un deuxième mail me conseille d’investir dans des panneaux solaires et de consommer l’électricité que je produirai. Oui pourquoi pas ? mais malheureusement le mail ne donne aucune information sur l’entreprise, c’est quand même bizarre une telle pudeur !

Mercredi des arnaques aussi

 

Mercredi, jour des enfants, un nouveau paquet attend sa livraison. Mais malheureusement, le mail étant en étranger (en néerlandais en fait), je comprends seulement qu’un paquet est en attente. Comme le Père Noël vit en Finlande, je me doute que ce n’est pas lui qui envoie un cadeau pour les enfants. Tant pis !

 

 

 

 

Jeudi des arnaques

Carrefour Banque me prévient qu’un message de mon conseiller m’attend sur leur messagerie sécurisée. Encore perdu, je ne suis pas non plus cliente de Carrefour Banque !

On me propose d’investir « dans un placement sécurisé et rentable » : les parkings ! un rendement de 8,5% en moyenne par an… je serais vraiment trop bête de ne pas rejoindre « ceux qui réussissent à faire fructifier leur épargne ».

 

Vendredi des arnaques

Je suis vraiment trop nulle : je n’investirai pas non plus dans l’achat d’un appartement avec pourtant 40 000 € de remise immédiate sur le prix…et dire qu’il y a des nigauds qui vont payer le juste prix…

Avast me prévient que mon abonnement arrive à expiration et me recommande de le renouveler immédiatement.  Zut ! j’avais complètement oublié… que je n’ai jamais été abonnée chez Avast.

Tiens, un revenant : un rappel du Crédit Agricole ! mais depuis lundi, je ne suis toujours pas cliente chez eux. C’est ballot !

Samedi des arnaques

 

Petite journée car je n’ai en tout et pour tout qu’un seul mail racoleur : un logiciel de référencement de site (sans nom ?). Tant pis, mes écrits resteront confidentiels.

 

 

 

 

Dimanche jour des arnaqueurs

Le dimanche n’est visiblement pas un jour de repos pour tout le monde.

Un premier mail me rappelle que, après vérification, sauf erreur de leur part, je n’ai pas payé mon loyer. Pour éviter tout litige ultérieur, je dois effectuer mon paiement sur leur nouveau compte bancaire dont le service Gestion Comptabilité me fournit l’IBAN. Sûr que je vais m’empresser de payer !

Un deuxième mail me propose d’investir dans des actions Amazon. « Investissez 250 € dans les actions Amazon et gagnez plus de 10 000 € par mois ». Merci Jeff Bezos !

 

 

Enfin, on garde le meilleur pour la fin : Tatalénergie m’avertit que « mes facture (sic) de l’année 2022 s’élèvent a (resic) plus de 45% de la moyenne, ce qui n’est pas négligeable (reresic) ». Et Tatalénergie de me proposer de « mettre du soleil dans mon énergie » : je pense plutôt à du beurre dans leurs épinards…

 

 

 

Et dire que demain c’est lundi et que cela va recommencer!

9 avril 2023

Vente de véhicules d’occasion par un professionnel

 

Acheter un véhicule d’occasion auprès d’un vendeur professionnel, c’est en principe s’offrir une certaine garantie, d’autant qu’un professionnel doit respecter impérativement certaines règles lors d’une vente à un consommateur.

Un document écrit est obligatoire pour matérialiser ou valider une vente : c’est soit un bon de commande, soit un bon de livraison, soit une facture.

Mentions juridiquement déterminées

Six mentions doivent figurer sur l’acte de vente, à savoir :

– la dénomination de vente, c’est-à-dire la marque, le modèle, le type, la version ;

– le mois et l’année de la première mise en circulation ;

– le kilométrage total parcouru ou lors la mention d’un kilométrage non garanti. Cette mention est essentielle puisqu’elle garantit, ou pas, un kilométrage précis ;

– le prix de vente TTC, y compris les prestations payantes supplémentaires ;

– la date limite de livraison, clause importante puisque son non-respect peut autoriser l’acheteur à annuler la vente ;

– Enfin le mode de financement, soit « au comptant » ou soit « à crédit ».

Le contrôle technique, une garantie

Le vendeur professionnel (le particulier aussi d’ailleurs) doit fournir à l’acheteur, avant toute signature, le procès-verbal du contrôle technique du véhicule. Ce contrôle porte désormais sur 133 points. Il concerne tous les véhicules de plus de 4 ans et sa périodicité est de 2 ans après le 4eme anniversaire du véhicule. Les défaillances sont classées par niveau de gravité : mineure, majeure, critique.

 

Il doit avoir été établi depuis moins de 6 mois avant la vente. La remise du procès-verbal de contrôle technique après la vente, au moment de la livraison par exemple, constituerait une infraction pénale

Historique du véhicule

histovec-historique-vehiculeLe consommateur a toujours intérêt à vérifier l’historique du véhicule en consultant le site Histovec qui lui indiquera les éventuels accidents. Il peut aussi consulter le carnet d’entretien et les factures des interventions effectuées.

Enfin, le consommateur peut également négocier avec le vendeur une garantie (pièces et main d’œuvre) sur une période déterminée.

5 avril 2023